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Une élue FN au secours de Dieudonné
Le 19 février dernier, la secrétaire départementale du FN, Sophie Robert, s’est émue de la demande d’interdiction du spectacle de Dieudo à Saint-Étienne : "Quoi que l’on pense des opinions de Dieudonné, il est extrêmement grave qu’en France aujourd’hui, un citoyen soit censuré de cette manière pour avoir discuté, tourné à la dérision un fait historique", a-t-elle déclaré. Un détail, quoi ! Notons que cette déclaration est en contradiction complète avec la position "officielle" du FN par rapport à toute la petite bande qui gravite autour de Dieudonné, Louis Alliot déclarant par exemple à propos d’Alain Soral qu’il "est à la tête d’une secte".

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Plainte contre un élu FN pour homophobie

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Samedi 16 février, lors d’un rassemblement en faveur du mariage pour tous à Auxerre, Richard Jacob, élu FN local, qui, contrairement à la présidente du FN, entend bien rappeler que l’homophobie reste une des composantes du discours du FN, aurait bousculé et frappé trois personnes, dont l’une d’un coup de pied au visage. Jacob crie bien entendu à la légitime défense, se prétendant injurié… À suivre.
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Marine go home !

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Mardi 19 février, à Cambridge, en Angleterre, la présidente du FN s’est faite accueillir par les antifascistes de Unite Against Fascim, alors qu’elle devait donner une conférence, invitée par une association d’étudiants qui avait déjà invité le père par le passé. Une banderole "Le Pen, never again" a été déployée, et la police a dû escortée la présidente du FN jusqu’au lieu de la conférence.
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Départ
Le suppléant de Florian Philippot aux législatives de juin en Moselle, Alain Friderich, a démissionné, trouvant la nouvelle ligne du parti "trop molle". Cet ancien mineur déclarait au Point il y a quelques mois "y en a marre de tous ces assistés, de ces dealers et de ces immigrés en situation irrégulière" : un discours qui ne correspondrait plus à la ligne soft prôné par l’énarque…
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Départ (bis)
Marie d’Herbais, l’ex-femme de Frédéric Châtillon, l’homme de l’ombre de Marine Le Pen, quittera le FN à la fin de l’année et l’annonce dès à présent sur Facebook, ne se reconnaissant plus "en tant que natio au Front national", à cause du "Philippot de merde" et des "pouffiasses [qui] m’ont volé l’unique personne que j’aimerai toujours dans ce monde". Ça sent un peu le ressentiment, d’autant que dans la famille d’Herbais, on est frontiste par tradition familiale : sa mère, la comtesse Katherine d’Herbais, outre le fait d’être riche, était conseillère régionale FN et a longtemps été l’une des principales actionnaires avec son mari du journal Minute (à l’époque où ce dernier était rangé derrière Le Pen). Pour la petite histoire, le château familial avait fait parlé de lui dans les années 1990 pour avoir servi de cadre à un film X… C’est peut-être à cette occasion que Marie a appris tous ces gros mots. Notons au passage que l’info est perfidement diffusée par le Parti de la France (Bretagne), qui regroupe tous les bannis du FN…

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